« Pouvez-vous Deviner 2 ? » – La Lettre De Gary Halbert Numéro 65

Traduction de la Lettre de Gary Halbert : cliquez ici pour voir l’originale.

Depuis :
Nord du ruisseau Jewfish

Cher ami et abonné,

Je tiens à remercier tous ceux d’entre vous qui m’ont envoyé vos suppositions sur les raisons pour lesquelles ma lettre de vente pour les centres de chirurgie oculaire du Tennessee était un si bon exemple de rédaction publicitaire de classe mondiale.

Une poignée de réponses ont été parfaitement ciblées.

Une autre poignée de réponses a raté la cible d’un kilomètre.

Mais la plupart des réponses (une quantité énorme) ont été partiellement correctes… mais … elles ont seulement « dansé » autour du secret de rédaction vraiment important que la lettre a démontré si vivement.

Je vais bientôt vous révéler la réponse. Mais d’abord, je veux que vous lisiez et réfléchissiez à un autre écrit. Le voici :

Une Saint Valentin Pour Jessica

Il était une fois un homme qui se promenait seul dans un quartier calme de la Nouvelle-Orléans, en Louisiane. Il pleuvait ce jour-là. Pas trop fort, plutôt une bruine qu’une averse. Cela, combiné avec le ciel couvert et un éclat de soleil inattendu, silencieux et étrange, semblait tout adoucir, baigner tout ce que l’homme pouvait voir avec un rayonnement d’un éclat suffocant. Quelque chose, (il ne saura jamais quoi) le poussa à un certain moment, un moment magique, à s’arrêter et à regarder un bâtiment près du trottoir. Là, en regardant de l’autre côté d’une fenêtre du deuxième étage striée de pluie, il y avait un visage enchanteur, semblable au visage d’un enfant, encadré par une chute de cheveux blonds courts et brillants et doté de doux yeux bleus, qui reflétaient, même de l’endroit où il se tenait , une intelligence vive mariée à une personnalité sûre d’elle et à une âme curieusement vulnérable. Par artifice, avec la complexité d’un associé, l’homme s’arrangea, peu de temps après, pour rencontrer sa « femme de la fenêtre ». Au fil du temps, elle commença prudemment à révéler un aperçu de son intimité, de ses pensées privées.

La façon dont elle avait réalisé son chemin de vie était plutôt défini comme « spirituel » que religieux; comment elle avait découvert que donner aux autres n’était ni un devoir ni une question morale, mais plutôt une source fiable de joie authentique et désintéressée pour celui qui donne; comment elle en était venue à comprendre que ses compulsions ne devaient pas être combattues ni réprimandées, mais plutôt embrassées et célébrées comme une partie vitale de son caractère unique. Elle a dit à l’homme, alors qu’il écoutait dans un silence respectueux, sachant qu’il était béni d’être avec elle, qu’elle avait trouvé un rapport et une paix avec l’univers et tout ce qui habitait dans ses dimensions illimitées. Elle avait appris que l’acceptation était la réponse à l’agitation; qu’elle n’était ni le nain de ses peurs ni le géant de ses rêves; qu’elle n’était, en fait, que Jessica. Et c’était suffisant. Plus qu’assez; c’était transcendant. Avec cette prise de conscience, tous les obstacles ont disparu et son chemin est devenu clair et dégagé. Elle avait trouvé la sérénité en acceptant chaque personne, lieu, chose ou situation comme étant exactement ce qu’il était censée être à un moment donné; par la prise de conscience que rien dans l’univers ne se produit ni ne se produirait jamais par erreur.

Elle a commencé à éprouver de la joie au moment précis où elle a réalisé que la joie n’était pas une manifestation des circonstances mais, le résultat d’un processus « intérieur-extérieur » lorsque sa véritable âme devient libérée de ses préoccupations vaines et mesquines. Elle avait évolué. Elle en était venue à s’accepter pleinement comme une entité unique et cruciale dans le déroulement sans fin et parfait d’une intelligence cosmique. Cependant, elle n’avait que peu de sentiments avec l’homme étrange avec lequel elle essayait d’exprimer ses pensées personnelles. Elle a commencé à le trouver ennuyeux et sans défi et elle s’est évanouie de sa vie, convaincue qu’il n’avait pas la sensibilité suffisante pour comprendre un jour sa vraie nature. Elle avait sans aucun doute raison. Son absence dans sa vie ne lui a laissé aucune blessure psychique, aucune douleur émotionnelle, aucun vide à combler, ni même un désir mélancolique. Mais il pense toujours à elle, à sa « femme de la fenêtre ».

Presque tous les jours.

OK, ce que vous venez de lire n’a peut-être PAS été écrit par moi. Mais c’est un écrit avec un ingrédient secret qui le rend si remarquable. Pouvez-vous deviner ce que c’est ?

J’espère que certains d’entre vous m’écrivent avec des suppositions à [email protected]

Cordialement,

Gary C. Halbert

PS : Continuez à regarder ce site Web comme un faucon. Le prochain numéro que vous lirez sera absolument époustouflant pour beaucoup d’entre vous.

Paix.

Cliquez ici pour recevoir GRATUITEMENT toutes les Lettres de Gary Halbert – Le Prince du Copywriting !